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- New album out now! -

 

 

TV Lumière return after seven years from “Addio! Amore mio” with a new album “Avrei dovuto odiarti”, it comes out on “I dischi del Minollo”, on March the 22nd.

 

 

 

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- Book Now! -

 

         

 

 

 

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news archive

 

TV Lumière: Addio! Amore Mio
Label: Acid Cobra Records (AC009) - Press agency: Lunatik
Distribution: Venus (ITALY),
CD1D (FRANCE) + Believe (Digital)
Album out on may the 23th 2011
Available on CD and Digital
http://tv-lumiere.believeband.com - http://www.acidcobrarecords.com
TV Lumière return after three years from "Per Amor dell' Oceano" with a new album: "Addio! Amore Mio". It comes out on Acid Cobra Records (new label of Amaury Cambuzat) on May the 28th. TV Lumière are a perfect mix between The Swans and Morricone, but with a singing of author in the language of Dante. With these musical coordinates they arrive to a true identity and an original style. Produced by Amaury Cambuzat (ULAN BATOR, Faust).
Recorded by: Giorgio Speranza, Alessandro Beltrame and Amaury Cambuzat @ Pan Pot/Skylab studios (Terni - IT)
Mixed by: Amaury Cambuzat @ Analphabet City studio (Milano - IT)
Mastering: Carl Saff (Chicago - USA) - Graphic cover: Mirko di Francescantonio - Images: Kain Malcovich - Photos: Maurizio Antonelli
Track-list:
1.
LA CONDANNA 2. TRANSOCEANICA 3. DE ROSARIO 4. UN FIORE PER IL CAPITANO 5. LA LETTERA 6. A.M.A.N.O
7. DA QUANDO MI HAI ABBANDONATO… 8. AGO E FILO 9. SCENA MUTA 10. L'OSPEDALE VECCHIO /I SETTE GIRI DEL CORRENTE
TV Lumière are:
Federico Persichini – Voice, Guitar
Ferruccio Persichini – Guitar, Piano
Irene Antonelli – Bass, Voice
Yuri Rosi – Drums, Percussions
Guests:
Amaury Cambuzat (Ulan Bator)
Rafael Bord (The Somnambulist)
http://www.tvlumiere.it
TV Lumière discography:
"TV Lumière" - 2005 - tele_noise art (Venus)
"Per Amore dell'Oceano" - 2008 - Seahorse Recordings (Goodfellas)
"Addio! Amore Mio" - 2011 - Acid Cobra Records (Venus)

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interviews:

tue. 01.24.12 - TELE GALILEO - "TV Lumière special" on Music Attack

sun. 06.26.11 - RADIO ORIZZONTI

tue. 06.28.11 - RADIO ONDA D' URTO

wed. 06.29.11 - RADIO CAPODISTRIA

thu. 06.30.11 - WEB RADIO NETWORK

sun. 07.31.11 - RADIO SHERWOOD

 

TV Lumière - "Addio! Amore Mio" (Acid Cobra Records/Venus/CD1D, 2011), by autresdirections.net - 07.13.2011 - review

« Un poison violent, c’est ça l’amour / un truc à pas dépasser la dose ». Pattes contre terre, nouvel horizon tortueux, en rouge et noir. Plus lente, moins brutale, comme ankylosée par tant de toxicité maligne, la musique de TV Lumière n’est plus le cheval fou des débuts (Tv Lumière, 2005). Exit la lumière blanche, les coups de sang, les grandes saillies. Le souffle ébouriffant de l’électricité se fait dorénavant moins explicitement sauvage et tendu. Dans la lignée du précèdent Per Amor dell’Oceano, les frères Persichini marquent une nouvelle fois le pas. Fiévreux, feutré, cadencé. Ici plus qu’ailleurs, le quatuor Italien a la nuance presque sociable et le sens de la musicalité étendue. Ainsi Addio ! Amore Mio, troisième album à bride sensuelle et retenue, se révèle-t-il très long en bouche. Ballades ténébreuses, poisons mid-tempos, chansons de langue italienne. Les habitués de Nick Cave ou d’Howe Gelb ne seront peut-être pas perdus. A son idéal de bruit brut (Swans, Ulan Bator) TV Lumière impose désormais de plus subtils changements de couleurs et de rythmes. Ce qui s’appelle grandir patiemment, sans trop perdre de sa singularité ni de son investissement.

Par Jerome Olivier

 

TV Lumière - "Addio! Amore Mio" (Acid Cobra Records/Venus/CD1D, 2011), da www.liabilitywebzine.com - 16.12.2011 - chronique

Encore un groupe dont l'Italie a le secret. TV Lumière, sur lequel plane l'ombre de Swans (leur bio le rappelle très bien : on retrouve chez eux le même type de voix caverneuse et profonde, le même type d'emphase, de volume sonore, de gravité...), produit ici un troisième album qui flirte également avec leurs compatriotes de Spiritual Front. Enfin, musicalement parlant parce qu'il n'est pas certains que les deux groupes abordent les mêmes thèmes. En tout cas, Addio ! Amore Moi impressionne de bout en bout, aimant les morceaux aux structures alambiquées. Elles ne sont pas forcément complexes (cf Transoceanica) mais elles aiment prendre le plus de place possible et vagabondent volontiers mettant un point d'honneur à faire sortir de l'ombre une musique puissante et qui pèse chacune de ses notes pour qu'elles soient le plus efficaces possibles. Ce disque est donc certainement des plus appliqués mais il n'est pas sans âmes. On peut faire confiance aux frères Persichini et à leurs deux acolytes (Irene Antonelli et Yuri Rosi) pour que l'ensemble produit ne donne jamais l'impression d'une copie trop scolaire. Entre Swans et Spiritual Front donc mais pas seulement. Les influences du groupe, on s'en doute, sont beaucoup plus large. C'est pour cela qu'il serait inopportun de les résumer à des références restreintes. Le spectre de TV Lumière est plus large et ils le disent eux mêmes. Leur inspiration va donc de Godspeed You ! Black Emperor, Calla ou Ulan Bator (comme par hasard TV Lumière signe cet opus sur le label d'Amaury Cambuzat qui participe volontiers au disque). Avec un peu d'effort on pourrait citer une multitude de groupes qui ont suivi les traces de la création de Michael Gira et ce dans quel que soit le cercle d'influence dans lequel ils pouvaient se trouver. Mais nous ne sommes tout de même pas là pour faire du name dropping et quand bien même on pourrait accoler bon nombre de noms à leur musique, il n'en demeure pas moins que TV Lumière possède une aura bien plus forte que celle d'un groupe qui ne se contenterait que de copier de glorieux ainés. On en revient toujours à la même chose. Qu'est-ce qui fait la différence entre ceux qui ont une vraie identité et ceux qui ne font que réciter ? A tous points de vue, TV Lumière fait partie de la première catégorie.

par Fabien, chronique publiée le 16-12-2011

 

TV Lumière - "Addio! Amore Mio" (Acid Cobra Records/Venus/CD1D, 2011), by www.muzzart.fr - 06.05.2011 - review

On ne présente plus Acid Cobra Records, le label tenu par Amaury Cambuzat d'Ulan Bator, qui nous a déjà réservé de nombreuses bonnes surprises comme Chaos Physique, Sexy Rexy, V13 ou The somnanbulist. Autant de groupes souvent expérimentaux, à la musique racée et changeante dans ses humeurs. TV Lumière s'inscrit dans cette catégorie et les frères Persichini signent désormais, avec Irene Antonelli à la basse et Yuri Rosi à la batterie, et ce depuis une petite dizaine d'années, des oeuvres recommandables, dont l'aboutissement se situerait sur cet opus. Soudé et expérimenté (il a, tout de même, partagé la scène avec Ulan Bator, Calla ou l'Enfance Rouge), TV Lumière oeuvre dans une veine noise que modère un rock élégant et ténébreux. L'univers ainsi défini est saisissant et accroche par ses contrastes entre envolées caractérielles et distinction dans l'ornement. Le chant en Italien ajoute à sa force de persuasion, et qu'il fasse dans le soft (le magnifique Un fiore per il capitano) ou monte lentement en intensité jusqu'à malmener la quiétude assombrie de son ouvrage (La condanna), le quatuor se montre crédible, insoumis, aussi, et hautement performant. Les longs formats de certains titres n'entravent pas sa qualité; bien au contraire, ils lui permettent de développer de façon d'autant plus pertinente ses trames troublées, à la fois propres et souillées, et de valoriser un décor instrumental soigné d'une grande beauté (Transoceanica). Les climats qui émanent de cet album ne sont pas sans rappeler Morricone (ce même Transoceanica), ou l'Enfance Rouge pour ce mélange entre noise et rock lettré. On s'enivre par conséquent de la longue complainte déchirée de La lettera, ou du format plus étendu encore de A.M.A.N.O. et ses voix samplées, cinématographiques, à la Microfilm. Superbe transition avant le second volet de l'opus, ces plages de choix précédent une chanson courte et épurée, le soyeux et chatoyant Da quando mi hai abbandonato, puis une autre du même style, plus emphatique toutefois, secouée par des guitares faussement tranquilles (Ago e filo), qui font à leur tour leur preuves de belle manière. TV Lumière fait ensuite dans le plus ouvertement énervé sur l'intro de Scena muta, pour ensuite imposer une cadence saccadée, avant de nous offrir dix minutes scindées en deux parties sur L'ospedale vecchio/I sette giri del; l'une jazzy enfumée mais plutôt délicate, et l'autre dans un esprit folk dénudé, enrichissant de cette façon son panel sans faiblir une seconde. Il conclut donc sur une note légèrement différente du reste, bien qu'animée par ce même esprit libre, et livre un excellent album, à classer auprès des autres groupes de ce label plus que recommandé.

Par A good day for a trip, le 05/06/2011 - muzzart

 

TV Lumière - "Addio! Amore Mio" (Acid Cobra Records/Venus/CD1D, 2011), by www.indierockmag.com - 06.23.2011 - review

Troisième album du groupe transalpin TV Lumière, Addio ! Amore Mio est une réussite. Portée tout du long par de belles mélodies, une voix grave et profonde et de délicats arrangements, à la fois sombre et lumineuse, simple et luxuriante, cette noise élégante aime s’habiller de velours. Et c’est vrai que les voix font des merveilles, en particulier celle, habitée, de Frederico Persichini, une voix profonde et enveloppante qui surplombe l’album de sa belle majesté. Mais cette voix ne saurait suffire et ne peut cacher le travail formidable des instruments qui se montent les uns sur les autres ou bien défilent en rangs serrés et tout cela sans jamais déborder du cadre, car une autre grande réussite de cet album est sans nul doute sa parfaite retenue, une retenue qui emmène avec elle l’élégance. Et il s’avère bien difficile de se rendre compte lorsque, dans le même morceau, l’on passe d’un canevas fatigué, semblant porter sur ses épaules tout le poids du temps qui passe à quelque chose d’ouvertement noise et habité, exposant fièrement ses hématomes et ses stigmates, excepté lorsque l’on vient de passer au morceau suivant. Un disque-montagne russe où tout progresse au ralenti et aux points d’orgue nombreux : Da Quando Mi Hai Abbandonato... rappelle les Bad Seeds de Nick Cave, on penserait presque à une chanson de Tender Prey, une sorte de Slowly Goes The Night qui bifurque assez rapidement vers autre chose, toujours en prenant son temps, balançant ses arrangements languides et troublés directement dans l’œil du cyclone sur ses dernières secondes. Ou les deux visages du diptyque L’Ospedale Vecchio/Sette Giri Del Corrente, l’un porté par un piano patraque et élégant qui se balade les mains dans les poches et l’autre qui apparaît presque sans crier gare, au terme d’un très long silence, ouvertement lo-fi, complètement dépouillé et rappelant carrément Tom Waits dans sa façon de traiter voix et percussions. Et ce n’est là que pour s’en tenir à deux morceaux tant cet album est en permanence captivant. Addio ! Amore Mio est le troisième opus de TV Lumière après un éponyme en 2005 et Per Amor Dell’Oceano en 2008 et c’est très certainement leur meilleur aussi. Le premier à sortir sur Acid Cobra et connaissant les habitudes du patron, on est bien sûr peu surpris de retrouver Amaury Cambuzat à la production et au mixage mais pas seulement puisqu’il vient aussi prêter main forte du côté des instruments (e-bow, guitare slide, orgue, etc.) habituellement tenus par Frederico et Ferrucio Persichini (guitares et respectivement voix et piano), Irene Antonelli (basse profonde) et Yuri Rosi (batterie carrée). Et puis, entendre ces mots susurrés en italien auxquels on ne comprend pas grand chose si ce n’est l’essentiel - on s’en doute, le propos est bien loin d’être des plus guillerets - sur ces arrangements sombres et molletonnés procure une sensation vraiment intéressante, à la fois accueillante et malaisée, à l’instar des mélodies, graves mais lumineuses. Bref, le disque aime également les paradoxes et développe une musique en clair-obscur des plus efficaces qui n’ennuie jamais et suffisamment variée pour que l’on y revienne. Addio ! Amore Mio a tout le charme d’un flocon de neige en plein été ou d’une éclaircie qui vient transpercer un ciel noir et chargé. Écouter cet album, c’est un peu comme jouer à pierre-feuille-ciseaux, ce sont finalement toujours les doigts qui gagnent et qu’elles soient sages, relevées, crues, contemplatives ou quoi que ce soit d’autre, ce sont finalement toujours les chansons qui font mouche et c’est bien là une autre grande réussite d’Addio ! Amore Mio : ce disque est avant tout un beau disque de chansons. Construites patiemment, artisanales et élégantes, aux ambiances fortes et à l’âme bien présente. Une réussite de plus dans le catalogue d’un label qui décidément ne déçoit pas. Un disque fort. Pour se faire une (petite) idée, le trailer d’Addio ! Amore Mio, La Condanna avec une voix malheureusement très en retrait.

Par Leoluce

TV Lumière - "Addio! Amore Mio" (Acid Cobra Records/Venus/CD1D, 2011), by www.foutraque.com - 06.28.2011 - review

TV Lumière est un quatuor italien qui existe depuis 1999 et Addio ! Amore Mioest leur 3ème album. Comme sur le 1er album, le groupe a une fois de plus donné carte blanche à Amaury Cambuzat (Ulan Bator/Faust) pour le mix des 11 titres. TV Lumière chante en italien, et chez eux cette langue sonne divinement bien à l’oreille. Leur musique est teintée d’ambiance cabaret/théâtre/polard, quelque part entre Crime & The City Solution, Tuxedomoon, Minimal Compact, And Also The Threes, les Swans en version acoustique et une petite pincée d’Ennio Morricone dans la guitare. Leur musique possède beaucoup de clase, d’atmosphère sombre, de psychédélique habité et des harmonies recherchées qui donnent à l’auditeur une part importante au rêve, à l’imaginaire. Chaque titre est à lui seul une petite histoire qui pourrait prendre la forme d’un court métrage. La voix grave et trainante de Frederico Persichini donne beaucoup de relief aux morceaux. Et quand derrière une voix féminine et un violon viennent compléter le tableau, c’est clair, on est transporté. Rien à dire, les 11 titres de l’album sont très riche, chaque écoute réserve ses surprises. N'allumez plus le poste TV et restez branché sur la platine TV pour écouter cette petite merveille. Seul petit bémol, le dessin de la pochette. Il ne reflète pas l’ambiance sombre et cinématographique (style polard urbain 70’s) de l’album.

Par Paskal Larsen

 

TV Lumière - "Addio! Amore Mio" (Acid Cobra Records/Venus/CD1D, 2011), by www.benzinemag.net - 07.27.2011 - review

Avec son troisième album, TV Lumière n’en finit pas d’améliorer son post-rock à l’italienne pour ce qu’il convient d’appeler l’album de la maturité. Sous la férule de producteur Amaury Cambuzat (leader d’Ulan Bator et boss du label Acid Cobra Records), le quatuor emmené par les frères Persichini (plus Irene Antonelli à la basse et Yuri Rosi à la batterie) arrive à se distinguer un peu de la concurrence notamment par l’utilisation de la trop rare langue italienne dans le genre post-rock. Passé la première surprise, égale à celle de Migala avec la langue espagnole, on se dit que la voix grave de Federico dans un chanté parlé intimiste fait partie du charme étrange véhiculé par Adio Amore Mio. Derrière l’ambiance est froide mais cette petite touche latine est toujours présente associée ça et là à quelques sonorités Ennio Morriconienne – comme une autre trace diffuse d’italianité – (Transoceanica, scena muta). TV Lumière utilise le chant mais avec parcimonie. Parfois, la voix court sur tout un morceau comme un vrai groupe de rock qu’il est aussi (Ocae Fila). Mais plus généralement, le groupe aime jouer les prolongations et étirer sa musique sur de longs instrumentaux, nuançant le propos, se laissant glisser sur une longue vague sombre et mélancolique. Celle-ci peut prendre ampleur et véhémence (la Lettera) mais le groupe ne tombe jamais du côté noise de la force. TV Lumière est cold wave dans l’esprit, pas si éloigné de Cure, mais dans une transcription qui aurait rencontré entre temps l’indie rock de Calla, le post-rock de Godspeed You ! Black Emperor et autre musique plus abstraite. Pas de rupture de ton mais plutôt de lentes progressions particulièrement envoutantes (A.m.a.n.o.). Un peu à part sur le disque, Rosario commence à faire souffler le vent d’un rock de l’Ouest fait de pierre et de sable pour dériver vers un ambiant vaporeux, comme une sublimation des éléments. TV Lumière est ainsi : familier dans cette belle tristesse, aux bords du gouffre des musiques plus expérimentales (sans jamais y tomber) mais terriblement humain.

Par Denis Zorgniotti

 

September 2010. tv lumière: la condanna (video live). Directed by Alessandro Roncetti

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October 2009. tv lumière: milit (videoclip out now). Directed by Paolo della Rocca and Alessandro Roncetti

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ON LINE: www.myspace.com/tvlumiere

 

New Album Coming Up: TV Lumière, "Per Amor dell'Oceano" (Seahorse Recordings/Goodfellas, 2008). Produced by Paolo Messere

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TV Lumière - Per amor dell'oceano (10tx CD, 55'17'' - Seahorse rec/Goodfellas 'o8) - 01.10.2008 10:10 AM by Komakino and Marquee-Moon - review

Calmed down the noise burning of their debut [read past komareview], four piece Tv Lumière, leaden by Persichini brothers, soars upon the wings of an elegant slowcore, with a renewed attention for acoustic instruments, - then their obscure figures turnt into severe ballads tasting vintage; stark as their themes (postwar and arounds, but nothing to do with wartime-wannabes and other foolish), anyway emotionally involved with that, - and these new songs form like a unity, almost granitic. That doesn't mean it's inaccessible, no, anyway it needs time to get through. Besides cited and evident influences (Nick Cave, Slint, Sonic Youth, Lydia Lunch, Dirty Three, Low) my mind comes again to Michael Gira as their real ascendancy, - surely referring to the more decadent lines He drawn with Angels of Light than with Swans' desperate fierceness (with whom TVL were closer in their earlier songwriting), - and, inside the borders of our country, with Massimo Volume - at least because of that similar instrumental chasteness, somehow illuminated, even when such so spartan. Not much else to say, except done i still really love Federico's beautiful voice, - maybe just in reason of what many other people don't: those tones of his, generally slow and even slower, baritone, it is like it was desperate and careless at the same time. As regards me, this is among best things of latest years in italy. Next 4th October they'll be the supporting band for Faust gig in Rome.

[by Antonio Olivieri]


 

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"The debut album, produced by Amaury Cambuzat (Ulan Bator). TV Lumière - TV Lumière (tele_noise art/Venus, 2005)

 

TV Lumière - s/t (CD-R self-produced) - www.walnutlocust.fr.st/

Produced by Ulan Bator founding member, Amaury Cambuzat, TV lumière is not just an extension of their sound. The record moves like a true Post-rock composition, melodic and melancholic, hopeful and despaired. The songs progressing slowly, towards their inevitable end. We can hear instants of Mogwai, of Ulan Bator and the explosive corrosion of the Swans' Children of God. Staring at the flickering images of emptiness on TV, remember that everything is lost, feel good now.

WALNUT + LOCUST (France)

 

 

TV Lumière - s/t (11tx  - cd, 58’51’’ self-prod. ’05)

Somewhat  chaotic, Italian TV Lumière play first track, high volumes on distorsions, two chords, a quiet stop, and then a new load to form an impact wave. Sort of atmosphere of whispers, contemplate/poetic and suffering, all building a gloomy/black mood over tracks, like spartan cd artwork. A production cared by Amaury Cambuzat (Ulan Bator, Enfants Rouges, playing several instruments too on some titles), this album blends chorus effected 80’s new wave guitar riffs to half postpunk saturation (instrumental load of D’improvviso). On Ritratti egiochi d’infanzia kids create a fairly good lyric tension idea, like with french lullaby of I Gatti (L’amour, mon amour qui ne vit plus dans moi, sings Federico Persichini, - vocals memories of Italian Diaframma), divided in two suites, with satin female background vocals of bass player Irene Antonelli.

Komakino – www.inkoma.com